Apathique:
Un jour je me suis assis
Sur le rebord de ma vie
Et puis sans compromis
J’ai hurlé : voici c’est fini
Et puis se sont éclairées
Mes obscures pensées
Sans m’y être préparé
J’ai décidé d’avancer
Depuis alors j’ai souri
Dans ce monde si joli
J’ai tellement d’envies
Que tout parait si petit
Maintenant je n’ai peur
Que du temps ravageur
Qui coupera mon bonheur
Dans son élan de grandeur
Il n’y a plus d’interdit
Tout m’est même permis
Donc j’ai cette folie
Qui grandit les esprit
Je suis un saint, un tueur
Aux longues mains, un seigneur
Il n’y plus de rien, pur coeur
Qui retient ma fin du malheur
Révoltère
Aoȗt 2009
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